Le varroa, son comportement et son élimination.

Le varroa, son comportement et son élimination.
Le varroa ! Voilà un petit mot qui fait couler des litres d’encre et source de problèmes des apiculteurs.
On peut entendre et lire un peu par tout ; il faut détruire le varroa à tous prix ! Et on nous donne mille et une méthodes plus ou moins efficace pour y parvenir. Mais personne ne parle du varroa et de son comportement dans la ruche. J’estime pour ma part que la lutte serra plus efficace si les apiculteurs connaitrai le varroa dans son contexte, sens allez en profondeur du sujet je vous expliquerai les étapes les plus important de la vie du varroa qui va nous permette de comprendre et d’agir en connaissance de cause.
Cet acarien qui est le varroa à besoin d’un insecte pour vivre est se développer, en l’encourense c’est l’abeille qui en fait les frais.
Cycle de reproductions de varroa.  
J 0 – la femelle adulte de varroa s’introduit dans la cellule juste avant son                        operculation et se cache dans la gelée royale.
J 1 – la femelle sort de sa cachette des que la cellule est operculé et prépare les endroits qui serviront pour la ponte, pour déféqué  et le troisième endroit pour se nourrir.  
J  3 – la femelle pond son premier œuf, de cet œuf un mâle naitra.
J  5 – le premier œuf femelle est pondu. Ensuite un œuf est pondu tous le trente heurs environ.
Le mâle est le premier à naitre et il attend sagement sur le tat de déjections. Les femelles qui arrivent à maturité sexuelle l’une après l’autre se font féconder par le mâle a plusieurs reprises. Mais entre chaque accouplement le mâle doit se nourrir et se reposer pour récupérer, des efforts fournis.
Pars ces fait seul deux femelle seront bien fécondé, les autres n’auront pas le temps car l’abeille sort de sa cellule au J 12. Mais il y a plus de femelle fécondée qui sortent des cellules de mâle J 14.
Le mâle ainsi que les femelles non fécondé ou mal fécondé mourons a la sortie de la cellule. L’abeille parasitée sort de sa cellule avec trois femelles sur le thorax, mais seul une restera et les deux autres vont se réfugier sur d’autres abeilles. La mère va parasiter une nouvelle cellule prête à être operculé un jour ou deux après. Elle peut ainsi recommencer le cycle trois à quatre fois avant de mourir.
Les deux autres vont passer sept jours sur l’abeille avant de commencer leur cycle.

Récapitulatif
Par ce bref aperçue et on admettant que la reine pond un œuf tout les 21 jours, le varroa dispose ainsi d’une cellule tous les 30 jours. Mais le varroa commence son cycle tous les 13 à 14 jours pour la femelle adulte et 19 jours pour la jeune femelle. Donc, nous avons a chaque cycle un multiple de trois, exemple : 1° cycle, 1 varroa à l’entrer et 3 à la sortie, 2° cycle, 3 à l’entrer et 9 à la sortie et ainsi de suite.
Mais en pratique les choses ne se passent pas ainsi, en effet : la reine pond 2 mille œufs en moyenne et par 24 heur. La cellule peut être envahie par 2 ou 3 varroas, des lors, nous comprenons aisément à quelle rapidité une colonie peut être infectée par le varroa. Si nous démarrons la saison avec 100 varroa, faite le calcule…….c’est ainsi que nous avons des colonies lourdement parasité par le varroa à ce stade de contamination on se trouve devant la varroase.
Méthodes de lutte contre le varroa.
La plus grande erreur que nous avons fait, c’est l’application systématique des produits dangereuse dés l’apparition de varroa, empêchent ainsi l’évolution naturel de l’abeille à trouve une parade contre le varroa, par cet agissement nous avons crée un varroa résistant aux produits et de plus en plus difficile a éliminer.
Selon moi, le métabolisme de l’abeille c’est fragilise au contacte des produits, nous avons actuellement des abeilles qui sont de plus en plus sensible aux diverse maladies qui, associer aux autres facteurs de contamination et de perturbation, l’abeille n’as aucune chance de résister.
Méthodes.
Plusieurs méthodes sont a notre disposition, quelques une sont efficaces à 85% a condition d’être correctement utiliser, d’autre le sont à 45%, et certains très peu ou pas de tout efficaces. Ces méthodes ont tous la période du traitement en commun, c'est-à-dire un traitement à long durait après la dernière récolte et un traitement ponctuel en absence du couvain aux environ de novembre, décembre.
Nous avons vue plus haut que une colonie parasiter par un grand nombre de varroa, elle serra infecter un très peu de temps, or, notre agissement contre le varroa est pour le moins contradictoire, en effet on laisse le varroa se développer toute la saison et puis on essaye de les éliminer en quelques jours. Est c’est ici qu’il faudrait se mettre a la place de l’abeille, a ce stade un peu de réflexions s’impose : les abeilles sont fortement stressai par la récolte du miel que nous avons fait, par le manque de nectar, par le risque de pillage, par l’apport de nourriture qui n’est pas la leur. A tous cela nous ajutons un stresse supplémentaire par le traitement intensive avec des produits plus ou moins dangereuses. Toute cette réflexion m’en conduit à trouver une solution qu’il soit le plus prés de la nature en corrélation avec la vie des abeilles et de varroa.

Mes changements d’attitude.
Le premier changement que j’ai fait, c’est de laisser aux abeilles la dernière récolte et de ne plus donnée du sirop de sucre.
Eviter de déranger les colonies inutilement.
Utiliser l’enfumoir quand c’est vraiment nécessaire.
Laisser faire la nature pour l’élevage des reines est intervenir au bon moment. On évite ainsi un stresse due a la division prématuré de la colonie.
Changer plus souvent les cadres du couvain.

J’ai constaté une nette amélioration de la santé et de la douceur des abeilles rien qu’en faisons ces quelques changement. Toutefois le varroa été toujours présent.
Après cela je me suis préoccuper de varroa, j’ai fait des recherches sur des produits le plus naturel possible c’est ainsi que je me suis diriger vers les huile essentielle alimentaire.
J’ai due faire d’innombrables tentatives de recherche contre le varroa, en premier lieu j’ai due choisir les huile essentielle selon leur propriété, puis il fallu trouver le mélange et la façon de l’utiliser. Je ne vous donne pas tout le processus de recherche car il sera trop long a expliquer, mais sachez que durent tout le temps de recherche j’ai perdue un nombre importent de colonies. Heureusement, après tant d’effort j’ai trouvé la solution la plus efficace et moins stressante pour l’abeille certes, cela ne permet pas la destruction total de varroa car éliminé à 100% le varroa cela vaudrai dire, détruire la colonie.
Application du traitement.
Nous savons que le varroa reste 7 jours sur l’abeille, c’est au cours de ces 7 jours que le traitement devrait ce faire mais nous savons aussi que la reine pond environ 2000 œufs par jour, cela vu dire que le traitement devrai se faire tous les jours. L’abeille ne résistera à un tel traitement.
Ma méthode consiste à empêcher le varroa de se multiplier durant la saison, de plus cela permet aux abeilles de trouver une parade par elle-même, j’ai déjà observé sur certaine colonie une évolution allons dans ce sens.
Le produit que j’ai mis au point sous forme de crème, est à étaler sur la latte Superior du cadre de couvain à l’aide d’un pinceau. On traite ainsi les 3 ou 4 cadres (voir plus) qui contienne du couvain tous les 15 jours et a partir du moi de mars par des journées clément et ensoleille. Vu qu’il s’agit de produits naturel et alimentaire il est tout affait possible de poursuivre le tretement jusque en septembre car il n’alter nullement le miel.
Ensuite, des que le couvain diminue on met 25 gouttes du mélange d’huile toujours sur le haut des cadres occuper par les abeilles en mettent 5 gouttes aux quatre coins en encadrons ainsi le couvain au centre et 5 goutte au centre du cadre centrale. On fait ce tretement trois fois à raison d’une fois sur deux semaines.

Vu le temps plus ou moins clément que nous avons, les reines continue à pondre de ce fait nous avons du couvain en grand quantité.
Couvain = Varroa !!!
Je vous conseille de faire un ou deux traitement anti varroa dès que possible.